« Nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon ; mais Dieu nous châtie pour notre bien, afin que nous participions à sa sainteté »
Si nous voulons gagner la course, nous nous engageons à long terme. Cela comprend l’acceptation de quelques règles de bas que la lecture du jour souligne.
Accepter la discipline de Dieu
Cela semble dépassé aujourd’hui. Nous acceptons que les sportifs doivent se discipliner s’ils veulent réussir mais, dans la vie chrétienne, cette conviction a pratiquement disparu. Pourtant, nous sommes engagés dans une lutte « à mort », et la discipline de notre Père nous est indispensable.
Vous voulez que Dieu vous prenne au sérieux ? Alors, bienvenue à son école.
Refuser les voies détournées
Il n’est pas possible d’éviter la souffrance tout en fuyant nos responsabilités de chrétien. Pensons à notre influence sur les « boiteux ».
Poursuivre encore
Nous devrons toujours à nouveau chercher l’équilibre difficile entre la paix avec tous et la sanctification. Sans cette dernière, même si on pouvait pénétrer dans le ciel, on n’y verrait rien. Nous courons trois risques de disqualification :
- « croire que rien ne presse et traîner dans la course, passant ainsi à côté de la grâce de Dieu.
- « se croire meilleur et devenir amer, infectant les autres.
- « croire que seul le présent compte et devenir nonchalant comme Esaü.
Saisis la discipline, ne la lâche pas, garde-la, c’est ta vie (Proverbes 4 :13, Bible de Jérusalem).
Auteur : Egbert Egberts (Méditations quotidiennes 2010)