DEUXIEME EXPERIENCE
Je vais vous parler maintenant de ma deuxième expérience.
Dans ma maison, nous faisions une réunion, et nous étions en tout une vingtaine. La première chose que nous faisions, c'était de louer et d'adorer le Seigneur. Soudain, nous avons senti la
présence de Dieu, avec une telle force et une telle puissance que c'était vraiment la Pentecôte. Je me souviens que la maman de mon mari, une femme très âgée, mais très active dans l'œuvre du
Seigneur, vint me dire :
- Bernarda ! Il faut baisser un peu la voix pendant la louange, car nous faisons beaucoup de bruit !
Il est vrai que nous faisions beaucoup de bruit. La louange ressemblait au bruit d'une cascade d'eau. Je me levai, avec l'intention de dire à mes frères de baisser la voix, lorsque j'entendis la
voix du Seigneur me dire :
- Ne dis rien ! Car dans le monde, quand il y a du tapage, nul n'y prend garde. Alors, pourquoi
arrêteriez-vous la louange ?
Nous continuâmes donc à louer et glorifier le Seigneur, et je sentis que quelque chose de très grand allait arriver. Subitement, je me souvins des paroles que m'avait dites le Seigneur, lorsque
j'étais montée au ciel la première fois. Il m'avait dit :
- Je reviendrai te chercher et tu resteras avec Moi.
Alors j'ai loué le Seigneur :
- Oh, Seigneur, il n'est pas encore temps que je m'en aille avec Toi, car je dois d'abord porter le message à Ton peuple pour qu'il soit prêt.
Le Seigneur ne me fit aucune réponse. Tout à coup, je vis une lumière éclatante qui inondait ma chambre. Tous mes frères virent aussi cette lumière. Et tous se mirent à genoux devant la puissance de ce Dieu Vivant et Véritable. Je ne savais que faire, et je restai immobile. Cette lumière devint de plus en plus intense, et prit une forme humaine. Et je vis devant
moi ce Dieu Glorieux, avec un regard serein, un visage magnifique et plein d'amour. Je n'ai jamais vu, ici sur terre, une telle expression sur un visage d'homme. Il allait et venait dans la
chambre. Il s'approcha de chacun de mes frères. Je voulais dire à ces frères que Dieu était venu pour m'emmener avec Lui. Au moment où j'allais parler, les paroles ne me vinrent pas dans ma
langue courante, mais en d'autres langues (1 Corinthiens 14). Le Seigneur S'approcha de moi et, sans dire un mot, mais en me regardant seulement, Il fit sortir mon esprit de mon corps, qui est
ensuite tombé. Mon esprit se mouvait dans l'air, et je voyais tout ce qui se passait dans la chambre. On sonna à la porte. Mon mari alla ouvrir, et se trouva face à deux policiers, qui lui dirent
:
- Nous avons appris qu'une femme est décédée. Nous voudrions savoir ce qui s'est passé.
Mon mari leur répondit :
- Non, non, ici, nous nous réunissons pour louer et adorer le Seigneur.
Les policiers doutaient de cette réponse. Ils voulurent pénétrer dans la maison, mais finalement y renoncèrent, en disant :
- Bon, ça va ! Continuez, mais faites un peu moins de bruit !
JUGEMENTS
Ensuite, le Seigneur me prit par la main, et me transporta vers la République Dominicaine. Lorsque nous fûmes arrivés dans la
capitale, le Seigneur me dit :
- Tu viendras bientôt dans ce pays, car il s'y commet deux grands péchés devant Mon Père, ce sont la sorcellerie et
l'idolâtrie.
Je vis les gens de ce pays qui se précipitaient vers la sorcellerie et les idoles. Puis le Seigneur reprit la parole, et dit :
- Mon serviteur, YIYE AVILA, arrivera avant toi dans ce pays et, lorsqu'il en partira, c'est toi qui y
arriveras.
En effet, je n'ai pas rencontré ce frère pour lui transmettre le message. Tout s'est passé comme le Seigneur l'avait dit. Ensuite, le Seigneur me transporta au Venezuela, et Il m'expliqua qu'il y
avait dans ce pays les mêmes péchés qu'en République Dominicaine, et que si le peuple ne se repentait pas, le jugement tomberait sur ce pays.
De là, Il me transporta cette fois au Mexique. Là, Il me dit de ce pays exactement la même chose que pour les deux autres. Je voyais des autels, devant lesquels des gens se réunissaient pour
adorer le démon. Le Seigneur me dit :
- La pestilence de ce péché est montée devant Mon Père. Le premier signe que Je te donne, c'est qu'il y aura au
Mexique un tremblement de terre, s'ils ne se repentent et ne reviennent à Moi.
Je me rendis par la suite au Mexique pour leur faire part de ce message, pour leur dire qu'il fallait qu'ils abandonnent la sorcellerie et l'idolâtrie et qu'ils se repentent, sinon le jugement
allait tomber sur eux. Lorsque j'ai appris la nouvelle concernant le tremblement de terre qu'il y a eu récemment au Mexique, je me suis agenouillée devant le Seigneur, et je Lui ai dit :
- Par cette nouvelle, j'ai compris qu'ils ne se sont pas détournés de leurs péchés, car Tu m'avais dit que s'ils revenaient vers Toi, le jugement ne tomberait pas.
Je vis des jugements terribles. Le Seigneur me dit :
- La main de Mon Père est étendue sur tous les habitants de la terre, mais pas pour les
bénir.
Je vis la mer qui se soulevait avec des vagues gigantesques. Je la regardai, elle ressemblait à un monstre. Je vis aussi des ouragans qui arrivaient sur la terre.
Sachant qu'il y avait beaucoup de chrétiens dans ce lieu, je posai cette question au Seigneur :
- Seigneur ! Lorsque tout ceci arrivera, que deviendra Ton peuple ?
Il me répondit :
- Va leur dire que, pour ceux qui Me sont fidèles, pas un cheveu de leur tête ne sera touché
!
Ensuite, le Seigneur me transporta encore dans un autre lieu. Je vis que la terre était fendue par endroits. Le Seigneur me dit :
- Bientôt, de nombreux pays seront engloutis.
Puis nous quittâmes ce lieu pour aller dans un autre, où il y avait des eaux très agitées. Nous entrâmes dans ces eaux, et nous arrivâmes au cœur de la terre, par un tunnel. Je vis de grandes
portes, mais ce n'étaient pas les mêmes que celles que j'avais vues au cours de ma première expérience.
HUMANITE QUI SE PERD
A ces portes, il y avait de grandes chaînes. Le Seigneur S'approcha de ces portes pour enlever ces chaînes. Il me fit entrer.
Il était très pressé. C'était un très long tunnel, on n'en voyait pas la fin. J'étais figée par le spectacle que j'avais devant mes yeux. Je vis des multitudes de gens, la tête baissée, portant
des habits déchirés, attachés par de grosses chaînes qui faisaient un vacarme assourdissant. Et je dis :
- Mais qu'est-ce que cela veut dire, Seigneur ?
Il me répondit :
-
Cette humanité marche vers l'Enfer.
Je dis encore :
- Seigneur, Tu es le Dieu de miséricorde !
Dans la foule, j'avais reconnu un visage qui m'était très familier. C'était le frère aîné de mon mari, Adolfo. C'était un homme très dur. Il maudissait Dieu, se mariait et divorçait chaque
année.
Je suppliai le Seigneur de me laisser repartir un moment sur la terre, afin de prévenir Adolfo qu'il allait en Enfer. Le Seigneur ne me répondit pas. Je vis une dernière fois Adolfo et sa femme
marcher vers le tunnel, au bord même de l'Enfer. Je suppliai encore le Seigneur de me laisser retourner sur la terre,
pour dire au monde qu'ils sont trop nombreux, tous ceux qui vont dans ce lieu. Le Seigneur leva les mains et, d'une
voix forte et sur un ton de défi, me dit :
- Va, et dis-leur que le temps touche à sa fin.
Il me répéta trois fois cette phrase, et Il dit encore :
- Des milliers et des milliers de gens iront en Enfer. Le temps pour Adolfo est terminé, il va bientôt
mourir.
Un jour, mon beau-frère Adolfo rentra du travail plus tôt, et dit à sa femme :
- Je ne peux plus travailler, quelque chose me dit que je vais mourir.
Et sa femme lui répondit :
- Tu es ivre, comme d'habitude !
Puis ils allèrent tous deux se coucher. Quelques minutes plus tard, elle eut une vision. Elle se vit avec son mari dans un tunnel, vêtus de vêtements sales, se dirigeant vers l'Enfer. Puis elle
entendit la voix du Seigneur, qui lui dit :
- Votre temps à tous les deux est fini.
Le Seigneur me dit :
- Sais-tu pourquoi Je t'ai fait venir encore une fois dans ce lieu ? C'est pour te montrer que, lors de ta première visite ici, les perdus étaient moitié moins nombreux que cette
fois.
Oh, Eglise du Seigneur ! Prenons moins de temps pour nous-mêmes et occupons-nous de cette humanité qui se perd ! Il faut travailler dans ce
sens, et annoncer que Jésus-Christ revient.
Puis nous sortîmes du cœur de la terre à la vitesse d'un éclair, et nous arrivâmes au premier ciel, puis au deuxième. Lorsque nous atteignîmes le troisième
ciel, je vis les anges qui s'agitaient et qui allaient d'un côté et de l'autre, alors que je n'avais pas vu cela lors de ma première visite. Je demandai au Seigneur :
- Pourquoi ces anges s'agitent-ils ?
Il me répondit :
- C'est vrai qu'il y a une grande agitation, mais Je vais t'expliquer pourquoi. Je vais
d'abord te montrer l'agitation qu'il y a sur la terre. Prends bien garde aux démons qui envahissent l'humanité. Le diable et les démons s'élancent
furieusement contre elle et contre Mon peuple. Sais-tu pourquoi ? C'est parce qu'il reste très peu
de temps.
JE REVIENS
Le Seigneur me permit de voir dans quelle terrible colère se trouvaient le diable et les démons. Il me dit encore :
- Ces démons sont des démons d'adultère.
Ils vont attaquer des milliers de Mes serviteurs, et beaucoup vont tomber dans ce péché. Cessez de mettre toute votre confiance en vous-mêmes, car c'est en Moi que vous devez avoir pleinement confiance.
Sais-tu pourquoi le diable a une porte ouverte ? Parce qu'ils volent Ma gloire et la prennent pour
eux. Ils deviennent très orgueilleux, et l'orgueil est le premier péché. La gloire doit toujours Me revenir.
La deuxième porte que le diable a ouverte, c'est parmi les ministres de l'Evangile. Il y a en
leurs femmes un grand désordre spirituel. Elles n'ont pas bâti leur maison avec la sagesse de la femme vertueuse.
Oui, il y a une très grande agitation parmi les démons,
mais il y a aussi une très grande agitation dans le Ciel ! Je vis une multitude d'anges, impossible à compter, équipés pour la bataille. Le Seigneur me dit :
- Maintenant, J'envoie sur la terre cette multitude d'anges, pour qu'ils protègent Mon peuple. Dans les derniers jours, la garde sera doublée. La garde du diable sera aussi doublée, mais vous ne devez pas oublier que votre Dieu est Grand et Puissant.
Si tu es attaché au Seigneur, rien ne t'arrivera.
Le Seigneur m'a de nouveau emmenée vers l'endroit où étaient entreposées les couronnes, mais elles n'étaient plus là. Je demandai au Seigneur où étaient passées les
couronnes. Il ne me répondit pas. Nous allâmes ensuite à l'endroit où se trouvaient les habits blancs de fin lin, mais ils
n'étaient plus là non plus. Je reposai la même question au Seigneur, mais Il ne me répondit toujours pas.
Il m'emmena ensuite dans un autre lieu. Là, je vis une immense table, autour de laquelle se trouvaient des chaises en or. Sur chacune d'elles, un nom était inscrit, et une robe de fin lin était
posée. Face à chaque chaise, sur la table, étaient disposées les couronnes. Lors de ma première visite, j'avais vu la table et les chaises, mais les robes et les couronnes étaient entreposées
ailleurs.
- Mon frère, si tu es intelligent, tu comprendras que tout cela signifie que très bientôt nous allons partir pour célébrer la Sainte Cène avec le Roi de rois, le Seigneur des seigneurs. Gloire à Dieu, quelle merveille
!
Puis je remarquai une chaise bien plus grande que les autres et, devant cette chaise, une gigantesque coupe en or. Et le Seigneur me dit :
-
Va voir ce qu'il y a dans cette coupe.
Elle était remplie de vin, prête à l'emploi. Il me dit encore :
- Sais-tu
pourquoi ? Va et dis à Mon peuple que cela ne veut pas dire que Je reviens bientôt, mais que Je suis déjà là!
LAVE SA ROBE
Puis le Seigneur me tendit une robe de lin, et me demanda de m'en revêtir. Il fit de même avec une couronne, que je posai
délicatement sur ma tête. Il m'emmena ensuite dans un autre lieu, que j'appellerai " le miroir de Dieu. " Je me regardai, et Il me dit :
- Il n'y a pas de taches ni de
faux plis, n'est-ce pas?
- Non, Seigneur !
- Personne n'entrera par cette porte, ni ne prendra place à cette table, s'il n'est revêtu de cet habit, qui est une vie sans
reproche devant Dieu. Certains, parmi Mon peuple sur la terre, ont sali cet habit. D'autres l'ont froissé, et
d'autres encore l'ont mis de côté et l'ont oublié. Dis à Mon peuple qu'il est temps de laver cet habit, pour ceux qui l'ont sali ; de le repasser, pour ceux qui l'ont froissé, et de le
reprendre, pour ceux qui l'ont oublié. Ils doivent pour cela demander au Saint-Esprit de les aider à remettre cet habit en
état.
- Le Roi va bientôt célébrer les noces dans le Royaume de Mon Père !
Le Seigneur prit ma main, et me conduisit au Paradis. Lorsque j'y étais allée la première fois, le Seigneur m'avait promis quelque chose.
Je suis d'une famille dont les parents étaient divorcés. J'ai vécu avec mon père. Ma mère était une femme très religieuse, et mon père est athée. J'ai
une sœur dans un couvent, mais je sais qu'elle sortira bientôt de ce couvent pour aller prêcher l'Evangile de Jésus-Christ avec moi. En pensant à ma mère, qui vivait dans
une religion néfaste, j'avais pleuré devant le Seigneur. , et je Lui avais dit :
- Seigneur, ma mère va se perdre. Pourtant, je lui ai tant parlé de Toi, mais elle ne m'a jamais écoutée. Elle s'attache de plus en plus à cette religion
païenne.
Voici ce que le Seigneur m'avait promis. Il m'avait dit :
- Je sauverai ta mère, mais Je vais la
reprendre tout de suite, car elle ne va pas persévérer dans le salut.
Pendant toutes ces années,
j'avais soupiré et rappelé au Seigneur la promesse qu'Il m'avait faite, car je voyais ma mère s'accrocher de plus en plus à l'idolâtrie de sa
religion. Le Seigneur a utilisé mon fils pour amener sa grand-mère au salut et, trois jours plus tard, ma mère mourut. Lors de ma deuxième visite au Paradis, le
Seigneur me montra qu'Il avait tenu Sa promesse. Il me dit :
- Regarde ! Ce que Ma bouche a dit, Ma main
l'accomplit !
Et je vis ma mère. Je la reconnus
parmi beaucoup d'autres femmes qui attendent que le nombre des élus soit complet et que l'Eglise soit enlevée. Oh, Eglise du Seigneur !
L’AVORTEMENT
Le Seigneur me conduisit ensuite dans un lieu où il y avait une multitude d'enfants vêtus de blanc, qui louaient et
glorifiaient Dieu. Le Seigneur me dit :
-
Tu vois ces enfants ? Ce sont les bébés qui ont été avortés par des parents et des médecins criminels. Des bébés que l'on tue jour après jour dans le ventre
de leur mère, et que l'on retrouve dans les poubelles et les rivières. Ces enfants, vois-tu, ils sont là !
Oh ! Quel Dieu merveilleux nous avons !
- Contrairement à ce que beaucoup croient, le fœtus est vivant dès la conception. Dès que la femme est enceinte, la vie est présente.
Le Seigneur me dit encore :
- Travaille avec beaucoup de précision, sans répit. Travaille, Je suis ta force. Ce message doit être diffusé dans le monde entier. Ce message est pour tous, y compris pour toi, y
compris pour les pasteurs. Que celui qui est saint se sanctifie encore davantage!
A cet instant, les portes du Ciel s'ouvrirent, et je vis un escalier magnifique. Le Seigneur fit appeler une multitude d'anges qui arrivèrent. Ce
même Seigneur qui était venu prendre mon esprit me raccompagnait à mon foyer !
Lorsque nous arrivâmes dans ma maison, je vis mon mari et les frères chrétiens, qui attendaient le retour de mon esprit. Le Seigneur avait transformé mon mari et ces frères.
Je regardai mon corps de chair qui était resté sur la terre. Il avait les yeux complètement enfoncés, et les lèvres boursouflées. Je dis au Seigneur :
- Oh non, Seigneur ! Je ne veux pas retourner dans ce corps si laid, je veux repartir avec Toi !
- Tu ne peux pas revenir avec Moi, car ce n'est pas encore ton temps. Tu dois d'abord porter ce message
à Mon peuple pour qu'il soit prêt.
Et, d'une voix puissante, Il ajouta :
- Entre, et reçois vie !
Mon esprit commença à bouger en tremblant, car cet ordre n'avait pas été donné par un homme quelconque ou un prophète quelconque. L'ordre avait été donné par Celui qui
est la VIE. Le Seigneur S'approcha de mon corps, et dit une nouvelle fois :
- Entre, et reçois vie ! Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort!
"EGLISE DU SEIGNEUR !
CE MESSAGE QUE JE TE DONNE,
C'EST LE SEIGNEUR QUI TE L'ENVOIE,
AFIN QUE TU SOIS PRETE !"
Témoignage pris sur le blog http://ciel-et-enfer.skyrock.com Les pages 9 à 12.html