DIEU T’AIME
L’amour : la base de la relation humaine.
Nous sommes tous en quête d’amour. L’enfant le cherche chez ses parents, la femme auprès de son mari etc.
L’être humain est mal à l’aise avec le vide ressenti dans son être intérieur et essaie de le combler par tous les moyens (les relations, l’argent, la réussite sociale, d’autres même dans l’alcool, la drogue, etc.).
Beaucoup, en particulier la jeunesse actuelle, ne supportent pas le silence. Pourquoi ? Parce que le silence met à nu le mal être intérieur. Donc, il faut le combler par du bruit (la musique, les fêtes, etc.).
Ce qui manque dans nos cœurs ? C’est l’Amour.
Pourquoi avec un A ? Parce que ce n’est pas l’amour d’un être humain mais l’Amour de Dieu qui dure éternellement.
L’amour entre deux êtres peut être interrompu (dispute, divorce, mort etc.) mais Dieu nous aime d’un Amour éternel :
« Mais Dieu prouve son Amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous ». Romains 5 : 8.
C’est un Amour qui donne… et… c’est gratuit !
Et Dieu l’a prouvé en envoyant Jésus-Christ mourir sur la croix à notre place, nous qui sommes des pécheurs.
C’est une folie pour la sagesse humaine.
Le passage dans l’évangile de Luc 15 : 11-24 illustre si bien l’Amour du Père Céleste.
Lisons-le ensemble
« Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien. Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche.
Lorsqu’il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla se mettre au service d’un des habitants du pays, qui l’envoya dans ses champs garder les pourceaux. Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait.
Etant rentré en lui-même, il dit : « combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ; traite-moi comme l’un de tes mercenaires ».
Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa. Le fils lui dit : « Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ».
Mais le père dit à ses serviteurs : « Apportez la plus belle robe, et l’en revêtez : mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds. Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous ; car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir ».
Commentaire
Nous ressemblons à ce fils. Le péché a ruiné la vie de l’être humain.
Mais le Père Céleste attend ceux qui sont prêts à crier à Lui parce qu’ils en ont assez de ce vide intérieur, de ce mal être et de tous les problèmes qui s’en suivent.
Le ras-le-bol conduit à la repentance comme ce fils et permet au Père de nous ouvrir ses bras d’Amour en Jésus-Christ et de nous accueillir à la Maison.
« Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils Unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » Jean 3 : 16.
« Jésus est le chemin, la vérité, la vie. Nul ne vient au Père que par Lui »
Jean 14 : 6-7
Conclusion
« VOUS ME CHERCHEREZ, ET VOUS ME TROUVEREZ, SI VOUS ME CHERCHEZ DE TOUT VOTRE CŒUR » Jérémie 29 : 13.
DIEU T’AIME